Le Groupement transfrontalier européen, qui avait récemment annoncé des pertes d’emplois en raison de difficultés financières, semble désormais sur la voie de la reprise. Avec l’arrivée d’un nouveau directeur, l’organisation se prépare à renforcer ses actions en faveur des travailleurs frontaliers.
Une phase de rebond
Après une période difficile marquée par des départs au sein de l’équipe, le Groupement transfrontalier européen a connu un tournant positif. Selon son nouveau directeur, Olivier Gibouin, l’organisation est désormais prête à se redynamiser et à attirer de nouveaux adhérents. Cette phase de rebond est essentielle pour continuer à défendre les intérêts des travailleurs frontaliers.
Recrutement et restructuration
Le Groupement a entrepris une restructuration significative pour faire face à ses défis financiers. Parmi les mesures prises, le recrutement d’un directeur compétent est un pas important vers la stabilisation de l’organisation. Cette initiative vise à renforcer l’équipe et à améliorer les services offerts aux adhérents.
Objectifs futurs
Avec cette nouvelle direction, le Groupement transfrontalier européen se fixe des objectifs clairs pour l’avenir. Parmi ceux-ci, on peut citer :
- Renforcer la communication avec les adhérents.
- Développer des partenariats stratégiques.
- Promouvoir les droits des travailleurs frontaliers.
Ces initiatives visent à assurer la pérennité de l’organisation et à répondre aux besoins croissants des frontaliers dans la région d’Annemasse et du Grand Genève.
En somme, le Groupement transfrontalier européen, malgré les défis rencontrés, se positionne pour un avenir prometteur grâce à une restructuration réfléchie et un engagement renouvelé envers ses membres. Cette dynamique est essentielle pour continuer à défendre les intérêts des travailleurs frontaliers dans un contexte économique en constante évolution.













